Alors que le nouveau Premier ministre Michel Barnier et son gouvernement est en place depuis plusieurs semaines, le débat sur les avantages des ministres, tant durant qu’après leur mandat, refait surface. Les ministres sortants, perdent leurs avantages matériels mais continuent à percevoir des indemnités pendant trois mois. Parmi ces avantages, ils doivent renoncer à leur logement de fonction, voiture avec chauffeur, ainsi qu'à l'accès gratuit aux transports en première classe. Cependant, certains, en particulier ceux ayant servi dans les ministères régaliens, peuvent solliciter une protection policière temporaire.

Les avis de nombreux téléspectateurs de Cnews apportent un éclairage sur ce sujet épineux. Moul (Montélimar, Drôme) est catégorique : "Ils ont trop d'avantages alors que nous, on doit se serrer la ceinture."

Jimmy (Cannes, Alpes-Maritimes) pousse cette idée plus loin en affirmant que les politiques devraient être traités comme "les français lambda". Il appelle à ce que les ministres "payent tout ce qu'ils ont à payer comme tous les français", suggérant que cela conduirait à d'importantes économies.

En Loire-Atlantique, Dolores (Assérac) propose que les ministres "s'alignent sur certains gouvernements qui sont beaucoup moins protégés, indemnisés et payés". Elle souligne un potentiel modèle d'austérité à adopter.

Un autre son de cloche vient de Marc (St.-Cloud, Hauts-de-Seine), qui pointe que même les ministres sortants conservent certains avantages, posant ainsi la question de la pertinence de ces bénéfices post-mandat.

En région héraultaise, Pierrot (Agde) et du côté de l'Essonne, Jean Pierre (Cerny) ajoutent leurs voix au consensus général pour une réduction des avantages, le dernier appelant les politiques à "donner l'exemple".

 

En guise de conclusion, les réactions des téléspectateurs de Cnews semblent lancer un appel vibrant au gouvernement de Michel Barnier pour reconsidérer sérieusement le système d'avantages ministériels.